Messagepar justedroit » 30 juil. 2023, 07:54
Bonjour à tous,
En effet, nous ne partageons pas le même point de vue.
Mais, une bonne fois pour toutes, il n'a jamais été dit par quiconque y compris le locataire qu'in fine sans accord avec le bailleur, il ne devra pas payer le loyer et charges jusqu'au terme de son préavis, et moi au surplus, lui faire croire qu'il a un droit qu'il n'a pas comme vous le prétendez, car je ne lui ai soumis que des ouvertures à discussion sur la possible réduction de son préavis.
Depuis quand est-il interdit de négocier ?
D'autant, lorsque le représentant du bailleur lui répond à sa demande de cette réduction par présentation d'une candidature à la location, je cite : « L'agence me dit juste de préciser sur le courrier de préavis, en recommandé avec accusé de réception, le nom de la future locataire pour prise de contact. Et que c'est donc tout à fait possible de réduire le préavis dans ce cas là ».
Dés lors, la prise de contact avec le candidat à la location est incontestablement ouvrir au locataire en place, la possibilité d'une réduction de durée comme par ailleurs, il lui a été précisé.
J'ai parlé de Loi, lorsque l'agence lui répond, je cite : « Après appel pour fixer date d'état des lieux de sortie, on me précise alors que l'appartement en question est un bien qui ne sera pas remis sur le marché de la location, donc non relouable.... Car immeuble en cours de vente à priori ».
En effet, car pour moi, en cours de vente d'un logement n'est pas encore l'avoir vendu en cours de bail, et la durée du préavis n'est pas encore avoir quitté les lieux.
Dés lors le locataire n'a pu user de son droit de préemption.
Quant à vos joyeusetés que vous promettez à ce locataire s'il osait ne payer qu'une partie de la durée de son préavis, vous devriez renseigner votre méthode pour ce faire, aux propriétaires qui ont des squatteurs qui occupent leurs biens pendant des années sans pouvoir les expulser.
Tout comme vous, nous sommes enfin d'accord, je ne veux pas non plus polémiquer, mais seulement tenu à défendre mon point de vue qui, je le comprends, peut ne pas convenir à d'autres, d'autant lorsque les autres sont des propriétaires bailleurs.
Nous en resterons donc là.