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Avant de partir en randonnée, on pense généralement à bien se chausser. Mais la veste de randonnée est tout aussi indispensable pour pratiquer ce sport exigeant.

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après 3 achats de veste de randonnée "gore-tex" chez bermudes,chez Millet ,chez lafuma je suis au regret de signaler qu'aucune n'a été convaicante ni dans l'évacuation de la transpiration ,ni dans la p^rotection contre la pluie(l'eau a fini par passer

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au niveau évacuation de la transpiration , la membrane Gore comme toutes les membranes d'ailleurs ne peut fonctionner que si la différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur est suffisanrte et cela dépends aussi de la quantité de transpiration à evacuer .. S'il y en atrop ça sature et on a quand même la sensation d'etre mouillée.
Au niveau imperméabilité cette membrane ne résiste pas bien aux frottements et notament si vous portez un sac à dos elle peut etre endommagée facilement .
Il y a énormément de pression marketing sur ce produit..

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J'ai une veste Bermude Chamonix en Gore-tex, j'ai pu la tester lors de footing sous une pluie moyenne. Avec la veste completement fermé, et avec la face avant complétement mouillé et en portant un tee shirt Patagonia, je n'étais que peu transpirant meme avec l'effort d'un footing.

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Et finalement la veste n'est pas mal si on la
laisse ouverte, battant au vent. Ça fait peut
être peu négligé dans la tenue. Mais, pour le
gore-tex on verra plus tard pour s'en payer,
ça fera des économies pour le
consommateur et pour les réserves
d'énergies fossiles qu'on continue d'épuiser
sous couvert de progrés technologique.
Cette petite plaisanterie de matériaux doit
coûter une "fortune" à la planète.
Enfin, pour la pluie il y a la solution de la
cape de pluie qui laisse passer l'air . Et
quelques fois on peut s'abriter sous un
arbre.

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Je suis tout à fait d'accord: la montagne ne doit pas céder au snobisme des autres activités et on doit lutter contre le mercantilisme qui tente de s'y installer. Une cape simple et peu couteuse me va très bien d'autant que je fais en sorte d'éviter le mauvais temps quand je vais en montagne. Je déplore le même problème avec les refuges où l'on voit de + en + l'esprit de la ville s'y installer: les "nouveaux" utilisateurs recherchent l'équivalent d'un hôtel! L'autre jour ds 1 refuge où je bivouacais, 1 groupe de 9 personnes avait réservé et ils ne sont pas venus sans avertir: bilan 1 perte énorme pour le tenancier et à 2500 m, loin de tout, ça fait mal!