La reforme de l'assurance maladie

Messagepar **visiteur** » 25 août 2004, 17:18

Avant de penser toujours à augmenter les cotisations et de réduire les remboursements il conviendrait aussi de contrôler la gestion et de revoir l’organisation du système de soins
En constatant certains non dits dans l'article je me permets de communiquer des commentaires complémentaires
Ainsi en considérant les échos et informations recueillis de diverses sources j’ajoute aux non –dits les causes complémentaires suivantes :
-« la saignée » provoquée par la réduction du temps de travail article instructif diffusé sur le WEB par l’association « contribuables associés »)
-en fonction de l’opportunité politique il a déjà été annoncé par le passé des déficits maîtrisés et même des excédents
-en fonction des circonstances et de l’opportunité politique il est courant de pratiquer le principe des vases communicants entre les différentes caisses de la Sécurité Sociale (CNAV, CNAF et CNAM)
-lorsque les caisses furent en excédent certaines ont investi dans l’immobilier En conséquence lorsqu’un déficit apparaît il conviendrait de vendre et non de poursuivre les investissements-
-il fut cité il y a quelques années le fait d’un congrès international dans un pays étranger au sein duquel il y eut une multitude de représentants de nos caisses logés dans des sites 4 étoiles. Pourquoi tant de représentants et un tel luxe !
-on parle trop peu des charges patronales et on oublie trop facilement que les cotisations portent sur le nombre d’ouvriers et que lorsqu’une entreprise remplace 10 ouvriers par une machine la cotisation de Xx10=10X devient =0. On devait dans de telles conditions créer un nouveau critère de cotisation mais rien n’est fait !. Ce point est très rarement évoqué !
-on insiste pas assez sur la part des cotisations patronales non versées par certaines entreprises qui pratiquant le chantage au chômage n’ont jamais versé leur part de cotisations et qui dans certains cas ne verseront jamais les arriérés. Ce point qui concerne tout particulièrement de grandes entreprises nationales est très peu évoqué !
-le forcing des laboratoires pharmaceutiques dans la bataille des prix de vente consentis
-le projet de réforme qui passe et qui prévoie le passage obligé par un médecin généraliste pour rencontrer un médecin spécialiste alors que l'évolution intellectuelle d'une grande majorité de patients permet maintenant de pouvoir identifier sans erreur le spécialiste à consulter et alors que certains médecins généralistes refusent de pratiquer certains actes de base de spécialité et que le prix des consultations secteur 2 de certains médecins généralistes est plus élevé que le prix de la consultation du médecin spécialiste. Alors pourquoi un tel passage obligé qui coûte une visite de plus à la Caisse Assurance Maladie
-Que certains examens dans la chaîne hospitalière publique sont pratiqués à répétition
- des séjours "rallongés"en milieux de traitement pour combler les lits vides
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