Epicerie et Consomateur (Suite Ter)

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Oui, Monsieur le Grand Épicier de Landerneau et de nombreuses périphéries urbaines, il n''est définitivement plus à démontrer que l’amitié et la proximité du «Pouvoir» facilitent les petits arrangements; cette décision est conforme à la Loi MEL (Michel Edouard Leclerc, curieux anagramme !)

Dans ce même contexte, il est clair que: « La messe était déjà dite »

Selon que vous soyez puissant… ou misérable.....

Décidément, Monsieur de la Fontaine reste un grand Homme...

Pour ma part, je n''ai jamais vu de conseiller 50 millions de consomateurs, il est clair que si l''un ou l''une de mas collaborateur aurraient laisser paser Nurofen + Aspirine sans questions, c''est une faute grave..........

Mais le Finistère c''est trop loin de Paris...

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Pas de doute c''est un pharmacien qui déffend ses privilèges. Privilèges acquis sous le gouvernement de Vichy c''est tout dire.
L''abolition des privilèges, c''était il y a bien longtemps.....Il faudrait bien recommencer !

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Bon, mon message étant passé deux fois de suite à la trappe, je le retente. Merci au modérateur de le publier, ou pas ?

Revenons, calmement, à quelques faits:
- En 1923, le rapport Cordier présente déjà un projet de création d''un Ordre des pharmaciens
- Sous Vichy, la loi du 11 septembre 1941, dans son texte initial, dota la pharmacie d''une organisation inspirée par Vichy: celle du corporatisme, refusant donc la création de l''Ordre des pharmaciens.
- A la libération, l''ordonnance du 5 mai 1945 créa l''ordre national des pharmaciens tel qu''il existe actuellement.