Messagepar phranix » 05 déc. 2011, 21:41
Bonjour,
Je n'approuve pas cette plainte concernant les bugs dans les jeux vidéos, qui sont la plupart du temps du (sur PC) à un problème de drivers et/ou de configuration de la plateforme.
En effet les jeux vidéos sont développés à un instant "T" or les développeurs ne peuvent prendre en compte la totalité des configurations matériels et software possible. Il est de la responsabilité de l'utilisateur de se renseigné sur la configuration requise pour pouvoir profité pleinement du jeu.
J'ai trop souvent des appels d'amis qui ne peuvent pas jouer sur PC a certains de leur jeux car ils ne mettent pas à jours leur drivers.
(J'ai plus de 200 jeux sur Steam et aucun à ce jour ne m'a posé de problèmes insurmontables).
Concernant les consoles de jeux je serai un peu moins conciliant (j'ai une 50aines de jeux Xbox 360 et une dizaine de jeux PS3). La plateforme étant défini les développeurs se doivent de tester correctement les jeux.
Exemple "Fable III" que j'ai du recommencer suite à un plantage lors d'un temps de chargement/sauvegarde.
Toutefois le nombre de jeux comportant des bug est très limité, et souvent n'empêche pas de jouer (le simple fait de généré le dernier point de sauvegarde réglé souvent le problème).
D'ailleurs je tient à rappeler qu'a ce jour il est possible de sauvegarder, et oui ne l'oublions pas le fait de pouvoir avoir plusieurs point de sauvegarde permet de se prévenir de se type d'anomalie.
De même ceci contribue également a réduire la durée de vie de façon logique. Comparativement rappelons que dans les années 80-90 la plupart des jeux ne permettaient pas de sauvegarder, par conséquent finir un jeux s'avéré souvent compliquer en une seule session de jeux. Et oui, d'une traite un Mario des années 80 pouvait se finir en 45min pour un joueur chevronné, pourtant le prix des jeux n'a pas beaucoup augmenté. (j'ai payé Goldeneye 007 sur N64 450 Fr soit 70 € fin des années 90).
On ne peux donc pas dire qu'a ce jour la durée de vie est réduite bien au contraire, c'est juste qu'il sont plus accessibles (et évite souvent le lancer de manette à force de recommencer en boucle le même niveau de A à Z pour les joueurs nerveux dont je fais partis).
En revanche la ou je rejoins UFC, c'est sur les Pass et le marché d’occasion.
Attention je ne suis pas contre les pass, mais pour une réglementation de ces derniers.
Je comprend totalement ce type d'activation sur Internet et de pass online, en 2011 il est très facile de se connecter sur Internet juste le temps d'une activation ou pour télécharger un patch. (A ce jour les jeux nécessitant une connection permanente online pour jouer au offline sont très très rare)
Ceci permet de lutter contre le piratage, et ayant beaucoup de connaissance qui joue à des version piraté des derniers hits, sans avoir passé à la caisse avait de quoi m'agacé. En revanche ces derniers ne profite donc pas a 100% du jeux car au moins ils ne bénéficient pas du jeu online.
Pour information le prix d'un pass online lors de l'achat d'un jeux d'occasion est de 8€, ce qui n'est pas une somme importante. Le problème c'est sur le prix d'un jeux d'occasion en magasin !
Game et La Fnac ne précise pas si le pass est compris dans l'occasion, et le comble souvent pour un même jeux, nous disposons de tarif différent, j'ai à plusieurs reprise vu des jeux d'occasion plus cher que le neuf car personne ne prend la peine de faire le tri dans le rayon... (Et au final puisque les gens achètent sans chercher plus loin pourquoi le faire...)
Autre phénomène, la dématérialisation, même si j’apprécie la fin des DRM sur les morceaux de musique acheté en ligne, je peux aujourd'hui passé ma musique très facilement à qui je veux et gratuitement.
Heureusement pour l'industrie du jeux vidéo le système des numéros de séries associés à un compte, permet de contrôler le phénomène. Je vais prendre comme exemple Blizzard, avec World of Warcraft et Starcraft II. La Charte Blizzard est très clair il est impossible de revendre le jeux et/ou le compte Battle.net.
Au final sur le même principe c'est comme si je me plaignais de ne pas pouvoir vendre mes application acheté en ligne sur mon PC ou sur mon smartphone