Bonjour,
Nous sommes propriétaire d’un appartement en copropriété depuis avril 2019 (offre d'achat acceptée début novembre 2018).
Peu après cet achat, en août 2019, nous apprenons en assemblée générale que des travaux importants de réparation et de rénovation au niveau de la façade de l’immeuble sont demandés par les propriétaires de l’étage du dessus. Ils évoquent un problème d’infiltration d’eau, sujet visiblement en souffrance de longue date.
A ce stade, nous n’avons pas conscience de l’impact sur notre bien puisque nous ne constatons aucun dégât.
Cependant, un 1er dégât des eaux se produit chez nous en octobre/novembre 2019 : la peinture du plafond s’est mise à brunir subitement dans l’angle d’une pièce. En tant que propriétaire, nous avons tout de suite déclaré un sinistre auprès de notre assurance habitation.
Début décembre, nous votons les travaux cités plus haut à l’occasion d’une nouvelle AG ; le syndic procède aux appels de fonds dans la foulée. A ce jour les travaux n’ont pas commencés.
En mai dernier, notre dégât des eaux s’aggrave une nuit où il pleuvait : l'eau coule à grosses gouttes dans l’appartement depuis le plafond et le long de la fenêtre.
Dernièrement, nous apprenons qu’un dégât des eaux entre les propriétaires du dessus et le syndic a été déclaré en décembre 2018, environ 1 mois après l’acceptation de notre offre d’achat et avant signature du compromis de vente.
Tous ces dégâts des eaux ont une cause commune (la pluie s’infiltre par la façade du bâtiment suite à un défaut d’entretien) et affectent les deux appartements au même endroit au niveau de la dalle.
Le syndic n’était-il pas dans l’obligation de nous informer du dégât en cours sur les parties communes puisque nous étions encore en capacité de nous rétracter ?