3 problèmes SNCF en cascade (B)

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Conclusion :
Le 1e problème rencontré est d’origine technique (Borne). La 1ère partie du 2ème problème est également d’origine technique par insuffisance d’accès informatique pour le contrôleur : « dossier impossible à retirer » (commentaire de l’agent figurant sur le 2em volet appelé « l’avis d’infraction » – le contrôle ne peut donc être effectué normalement.
La 2e partie du 2e problème est à la fois d’origine humaine et technique. Il faudrait enseigner aux jeunes contrôleurs la manière de délivrer un « procès verbal » qui n’était ici « pas verbal du tout » puisque infligé dans un silence total, sans aucune information ni alerte. Un agent assermenté comme par exemple un gendarme déroule auparavant une procédure orale légale. Ce qui ne fut pas le cas. Ceci est important car dans la plupart des cas, ce genre de situation, surtout quand elle est vécue comme une injustice par le client concerné comme pour moi, le prive d’une partie importante de ses moyens, eu égard au stress entraîné à la suite d’une deuxième demande de paiement pour le même objet déjà réglé et dont on apporte plusieurs éléments de preuve. Il faudrait donc éviter de faire délivrer un « PV » à l’insu du client, sans doute aussi présenter, en le commentant, un plus grand format bien imprimé et lisible par tous même par les personnes âgées - c’est-à-dire avec des gros caractères - le libeller d’une façon compréhensible dès le premier abord avec un titre évident comme « Procès Verbal d’Infraction et Amande » (en gras) et non pas plusieurs formules différentes dispersée en catimini sur deux volets différents. Il faudrait enfin que la mesure ne soit pas défective et issue d’une impossibilité de contrôle de la part de la SNCF comme c’est ici le cas.
Le 3e problème est d’origine purement humaine. Nous le mettrons sur le compte de l’exaspération bien apparente des cadres rencontrés et de leur impossibilité à maitriser toutes les situations possibles, surtout celles sur lesquels ils n’ont pas prise comme ici l’émission d’un PV non mérité. L’impuissance peut engendrer l’énervement. Je certifie également sur l’honneur être resté correct lors des ces événements (la caméra vidéo peux le montrer).
La synthèse est politique : peut-on infliger une amande à un client ayant régulièrement acheté un billet en ligne sans possibilité physique de le présenter à bord par défaillance de la SNCF ?
La chose est certaine, je ne suis pas prêt à renouveler l’expérience. Ceci peut aller à l’encontre du but recherché par un volet de la politique commerciale de la SNCF orientée achat en ligne tant qu’il subsistera une rupture de charge entre le paiement et le contrôle dans les trains. Cette solution de continuité peut invalider une procédure à l’encontre d’un voyageur dans la mesure où, dans ce cas, il semble d’emblée réputer comme « fraudeur » alors que ce n’est pas le cas toutes preuves fournies.
J''ai donc demandé l''annulation du PV et la suite fera l''objet d''un autre message ... (C)