Messagepar Durand404 » 04 mars 2018, 20:32
Bonjour,
J'ai envoyé une lettre recommandée le 16 septembre 2017 avec avis de réception ayant pour objet la résiliation de mon assurance maladie complémentaire (souscrite le 01 07 2011).
J’en ai informé par téléphone le délégué régional, Monsieur T qu'étant à l’ASS je n’ai plus les moyens financiers d’avoir une assurance complémentaire, il m’a répondu que les cotisations n’étant pas honorées, après quelques lettres de relance automatique dont je n'avais pas à me formaliser, la procédure prendrait fin d’elle même sans suite.
Après maints courriers et un recommandé, je l'ai joint par téléphone le 2 février 2018, il m'a assuré de la bonne régularisation de cette situation en début de semaine suivante.
Trois recommandés avec accusé de réception et X coups de téléphone plus tard à AXA et au délégué, un embrouillamini de 15 jours, une radiation au premier juillet 2018 au lieu de septembre 2017 a été effectuée.
Entre temps, j'ai reçu le 18 février une "mise en recouvrement amiable" d’Effico.
Le 23 février Monsieur T s’est dédouané en passant le dossier à son supérieur, Monsieur M qui m’a dit rencontrer sa hiérarchie jeudi 1 mars 2018 et m’a assuré par mél et téléphone « J’ai bien pris note de votre demande et reviens vers vous dans les plus brefs délais. » après des appel en absence de ma part, j’attends de ses nouvelles !
Vu l’article du 1 février 2005 (loi Chatel) et les articles L113-15-1 / L113-15-2 / L113-15-3 de 2013 - 2014 du code des assurances, AXA n’ont pas effectué ma résiliation en septembre 2017 et poursuivent malgré tout les appels de cotisation et poursuites, dans quelle mesure sont ils dans leur bon droit ou les outrepassent ils ?
Dans l'attente de votre réponse, merci.