Messagepar topaze22 » 27 juil. 2016, 12:26
Tout les opinions que j'ai énuméré sont véridique dans mon cas, (je suis moi même handicapé mais je n'ai pas le droit de me plaindre car mon (mes) handicaps sont dus à une accumulation de petits pépins qui certes me compliquent "un peu la vie" mais je n'ai aucun risque vital, (je me suis occupé de personnes handicapées, notamment de personnes étant atteint de forme très invalidantes de scléroses en plaquent qui faisaient que certaines d'entre elles étaient en fauteuil roulant et ne pouvaient pour certaines même pas manger seule.
J'ai des ami(e)s handicapées qui contrairement à moi qui suis toujours très autonomes et qui peut me déplacer à peu près comme je l'entends, y compris par la conduite d'un véhicule de tourisme n'ayant pas eu besoin d'être aménagé.
Et je mesure très bien la chance que j'ai de ce point de vu car comme je disais donc j'ai des amis ne sont plus très autonomes au point de ne plus pouvoir conduire et sortir de chez eux.
Tout d'abord je tiens à préciser que je ne dénigre pas du tout le principe de précaution mais son abus, et quand je parlais des personnes à risques, je pensais, entre autre aux agriculteurs, même si je ne l'ai pas précisé, et à leurs familles car dans certaines exploitations, (mais pas dans toutes), certains "industriels" poussaient (poussent toujours ?) les exploitants a utiliser certains produits sans les en avertir du danger de manipulation qui existent pour ces exploitants !
Ensuite je ne peux pas nier qu'il a des "natures plus fortes que d'autres au niveau de la santé".
Prenons mon cas personnel, de toute ma vie, il n'y a qu'entre 14 ans et 29 ans que je n'ai eu aucun problème de santés majeurs.
Et pendant cette période j'ai été hospitalisé à de nombreuses reprises suites à des accidents de la route, des chutes impressionnantes (d'après ceux qui les ont vue, des brûlures au 3ème degré car n'étant pas très sensible à la douleur (c'est de famille) je me suis rendu seulement le vendredi aux urgences alors que l'accident avait eu lieu le lundi (ce qui m'a alerté c'est du jeudi au vendredi de la semaine en question, j'ai eu très chaud alors qu'ils faisait très froid).
Quand le(s) médecin(s) m'ont demander avec qui étais venus m'emmener, étant donner qu'ils pensaient qu'avec l'état de mon pied, ils pensaient que c'était impossible de conduire (j'ai juste conduit en chausson).
A moment ils se sont même énervé en me demandant d'arrêter de mentir car pour eux c'était tout simplement impossible de conduire avec un pied dans un tel état. (d'ailleurs durant mon hospitalisation de 21 jours ma voiture est resté sur le parking de l'hôpital et quand il m'ont laissé sortir, (je leur ais cassé les pieds pendant une semaine avant qu'ils acceptent, chose qu'ils ont faites car les médecins m'ont indiqués qu'ils trouvaient que je faisaient parti de ces gens qui se remettent étonnamment vite :
(il faut dire que pour le coup du pied brûlé, je suis tombé sur une très bonne équipe médicale (chirurgien : libanais les médecins je crois,et ils sont pour la plupart très bon, et infirmière, ce qui n'a pas toujours été le cas dans mes différentes mésaventures médicales même au sein du même établissement, (ça dépend dans quels services vous tombez et même dans le même service sur qui vous tombez.
Il a fallu qu'un membre de ma famille qui est secouriste leur indique que bien que ressentant la douleur (heureusement car c'est pire "parfois" pour ceux qui ne la ressentent pas du tout (pas de signe d'alerte du corps ainsi que pour ceux qui la ressentent trop,
(cela peut rendre la vie "difficile" car dans ces cas là on pense tellement à la douleur qu'on ne peut plus faire grand chose (je suis passé par là au début de mon handicap même si j'ai réussi à la dompter grâce à mon caractère bien trempé et aussi un peu de chance sur le fait qu'on m'est trouvé un traitement adapté que je ne prends que ponctuellement, (avec l'accord de mon spécialiste),
au lieu de le prendre systématiquement comme me le conseillait au départ les différents généralistes (mais ce qui est vrai pour moi et me réussi dans ce cas là, ne l'est pas forcément vrai pour tout le monde).
Je disais donc que le secouriste de ma famille a indiqué à l'équipe soignante de mes brûlures aux 3ème degrés que même si je ressentait la douleur (pas toujours facilement après un accident) j'y suis très résistant.
D'ailleurs un membre de l'équipe médicale qui m'a opérée à 2 reprises durant le week-end a indiqué au secouriste de ma famille que c'était la première fois de toute sa carrière (d'au moins 15 ans) qu'il voyait un chose pareille concernant la résistance à des douleurs de brûlures au 3ème degré (ils étaient à 2 doigts de m'envoyer dans un centre de grands brûlés).
D'une manière générale, après accident ou une opération, je suis debout 48 h ou 72 h après.
Le délai le plus long pour me remettre debout après avoir été renversé par une voiture, c'est environ une semaine, (sur le coup j'ai même engueulé le conducteur de faire gaffe quand il conduisait alors que j'avais :
(je ne l'ai su qu'après examen à l'hôpital, et encore ils n'ont pas tout vu, notamment mon nez cassé net (heureusement), c'est un ami qui l'a fait remarqué quand je l'ai revu après ma sorti d'hôpital car j'avais auparavant ce qu'on appelle un "nez de boxeur", donc j'ai engueulé le conducteur de la voiture alors que j'avais le nez cassé, la tête en sang, un traumatisme faciale, des dents déchaussées et des entorses aux 2 pieds et au 2 mains. (je crois même leur avoir signé une décharge à l'époque pour qu'il me laisse sortir de l'hôpital).
Pour conclure, je dois dire que je pense avoir une solide capacité de récupération au niveau santé, (de ce côté là, on ne sera probablement jamais tous égaux), de me remettre de mes différents déboires "médicaux" peut-être doublé d'un trait de caractère (acquis avec le temps, à force d'avoir des accidents,
(surtout ne me plaignez pas car je m'en sors, jusqu'à présent, toujours bien), même si je me doute qu'un de ces jours un de ces "accidents" risques de m'être fatal malgré "mon optimisme acquis" à force de m'en être toujours bien sorti :
disons que je fais parti de ces gens qui ont la "faculté" de "renaître" de "leurs cendres" même si je suis bien conscient qu'a un moment cela s'arrêtera, et heureusement car même si je ne suis pas pressé de mourir (tant que la vie ne m'ennuie pas la vie éternel ne m'intéresse pas.
Comme tu le disais "R.link Renault" chacun voit midi à sa porte et fais comme il peut ou l'entend et je ne me permettrait jamais de porter un jugement sur un cas autre que le mien.