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Maison de retraite

coucoune
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Re: Maison de retraite

Messagepar coucoune » 24 avr. 2018, 05:55

Bonjour avez vous des avis sur la maison de retraite HÉLIOTROPE à Hyères 83400 ?

JANETTE
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Re: Maison de retraite

Messagepar JANETTE » 02 août 2018, 16:38

Il faut absolument signaler chez Korian Chatou :

- deux suicides cette année
- la gale cette année aussi, isolement des pensionnaires pendant 3 semaines en chambre
- manque de soins, ma mère est décédée non soignée de sa bronchite
- nourriture infame
- manque de personnel
- prix exhorbitant :environ 4000 € par mois

C'est honteux, scandaleux
Fuir ce genre de maison de retraite pour nos parents âgés, il existe des solutions de maintien à domicile

J'ai vu au jour le jour ce que j'atteste et ce pendant 14 mois


Que faire en cas de litige ?

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fgg
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Re: Maison de retraite

Messagepar fgg » 04 août 2018, 11:56

JANETTE a écrit :Fuir ce genre de maison de retraite pour nos parents âgés, il existe des solutions de maintien à domicile
J'ai vu au jour le jour ce que j'atteste et ce pendant 14 mois


Bonjour
Korian est coté en bourse,les actionnaires exigent des dividendes.

commentaires d'ex.salariés sur Korian:
https://www.glassdoor.fr/Avis/Korian-Avis-E34927.htm
Dans un avis il est écrit qu'à partir de 2 ans de séjour en ehpad, la personne coûte de l'argent à l'entreprise.

flo2020
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FUYEZ KORIAN !

Messagepar flo2020 » 23 sept. 2018, 07:32

Je lis les precedents posts avec grande émotion pour avoir eu ma chère grand-mère chez Korian pendant un an. Nous n'avions pas idée den ce que serait sa vie quand elle y est entrée.
Livrée à elle-même la plupart du temps, je m'y suis rendue plusieurs fois pour constater moi-même. Les pensionnaires sont SEULS dans les couloirs, dans leurs chambres, parfois tombés par terre, hurlant.. j'ai mis 35 minutes un jour à trouver quelqu'un pour m'aider. Le plus souvent, quand j'arrivais le matin, je la trouvais dans son lit toute habillée sale, le personnel n'avait pas eu le temps de la changer. En ce qui concerne les repas, j'ai pu échanger quelques mots avec le cuisinier en lui démanant comment on pouvait service de tels repas qui ne sont que des boîtes de conserves ! Il m'a expliqué que la nourriture était achetée au plus bas prix et que pour faire des économies on servait des fruits en boîte plutôt que du frais. Repas facturé 20 euros aux gens de l'extérieur ! Et combien de personnes incapables de s'alimenter quittent la table car il faut aller vite... Elle a été si malheureuse et si seule là bas et j'ai beaucoup de peine aujourd'hui. Finalement, une toux mal soignée par le personnel de l'établissement a degenere en pneumopathie et l'a conduite aux urgences où elle est décédée. Le médecin a constaté un fecalome énorme dans son ventre et à indiqué qu'on n'avait pas du la mettre aux toilettes depuis trois semaines. Je pleure ma chère grand-mère et pendant ce temps Korian s'enrichit au détriment de l'humain. Fuyez cet établissement par pitié !

Sirot
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Re: Maison de retraite

Messagepar Sirot » 19 déc. 2018, 14:11

Bonjour,
Ma mère est depuis 1 an en maison de retraite ORPEA St Jacques à Paris 13. Si l’accueil est très bien géré pour les familles, l'aspect médical et hôtelier est une catastrophe. Ma mère a été placé en unité fermée, contre notre consentement par une décision des médecins. les médecins "chargent" les ordonnances établies par des médecins hospitaliers avec l'accord du médecin traitant pour avoir la paix. La décision a été prise car notre mère "gênait". En effet, elle se "déplaçait" dans la maison. Notre mère le vit très mal.
Sa télévision est en panne depuis plus d'un mois. Des interrupteurs dans sa chambre ont été réparés au bout de plusieurs mois, la laissant dans le noir dans sa salle de bain. Des affaires disparaissent... Le personnel plus ou moins investi est débordé et bien souvent complétement désinvesti. Le personnel change en permanence. Toutes les prestations sont sujettes à des suppléments. Éviter ce groupe qui gère plus ses bénéfices que le bien des personnes âgées.

lili rose
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Re: Maison de retraite

Messagepar lili rose » 16 févr. 2019, 18:30

Je tiens à dire que mon avis repose sur mon vécu ainsi que celui de mes proches et de mon parent qui a séjourné au sein de cet EHPAD à ANDILLY (95). Les EHPAD sont des Ets d'hébergements médicalisés néanmoins, lorsque mon parent est tombé malade au cours de son séjour et qu'il a demandé un traitement à l'infirmière, voilà ce qui lui a été répondu : « puisque qu'il n y a pas de fièvre pas de médecin sinon c'est direction l’hôpital d'Eaubonne ». Au vu de leur réponse, on ne peux pas se sentir rassuré face à l'encadrement et l’accompagnement médical alors qu'ils sont censés apporter un soulagement du point de vue sécurité et sérénité aux résidents et aux familles.
Pour ma part cet établissement ne garantit pas la prise en charge adaptée de qualité attendue des résidents (groupe KORIAN) qui est l'un des premiers en France. Le prix est excessif, ne correspondant pas à la qualité des prestations vendues. Les repas proposés au sein de cette structure sont médiocres et les portions sont rationnées. De plus, je souhaiterais aborder le comportement d'un des membres du personnel, cadre médical. Son attitude à mon égard m 'a paru comme manquant de professionnalisme puisque au cours d'un entretien elle m'a fait part d'une grande agressivité dans sa manière de me parler et m'a donné l'impression de manipuler mon parent pour qu'il accepte de rester dans cette structure.
Pour conclure, comme vous pourrez le constater, mon avis ne peut être que négatif. Je vous déconseille de placer vos parents au sein de cet EHPAD mais cela reste mon avis personnel. Votre vécu peut être différent du mien et vous le souhaite sincèrement. Corinne pruvostier

Jeminy
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Re: Maison de retraite

Messagepar Jeminy » 06 févr. 2020, 18:25

En mars 2013, nous avons été assignés en justice, par un centre hospitalier de la Vienne car il avait prétendu que notre père n’avait pas les moyens financiers de payer son hébergement en EHPAD (obligation alimentaire). Il est important de signaler que cet organisme public n’a jamais été en mesure de nous justifier l’état de santé de notre père à cause du « secret médical » ni de nous justifier et de nous détailler les frais de dépendance. Cet organisme public ne nous a jamais laissé le choix sur le type d’hébergement, c’est à dire le maintien à domicile, un foyer pour personnes âgées, une maison de retraite classique et en dernier recours si l’état de santé du parent se dégrade, une admission en EHPAD.

Nous avons fait appel à une avocate de MONTPELLIER mais nous sommes « tombés » sur une avocate malhonnête, qui nous a extorqué une somme colossale, qui nous a fait payer des écritures (requête administrative et demande de mise sous curatelle) qu’elle n’a jamais transmises, nous a dissimulé des documents importants et n’a fait qu’aggraver notre situation face à l’administration.

Nous avons lancé une pétition sur change.org (http://chng.it/cn7tc7x5) vers la Ministre Agnès BUZYN afin de lui demander :

• Que les maisons de retraites médicalisées arrêtent de se « cacher » derrière le secret médical, surtout lorsque les enfants sont sollicités pour le financement ;
• Que les entrées en EHPAD se fassent de manière plus sérieuses et plus professionnelles et que les descendants soient systématiquement sollicités au moment de l’inscription.
• Qu’il faut privilégier en priorité le maintien à domicile et laisser aux descendants le choix du type d’hébergement.
De plus, les prestations des maisons de retraites sont incompréhensibles et floues et il est indispensable qu’elles détaillent et justifient leurs prestations, à savoir les frais de dépendance et les frais d’hébergement. Nous demandons qu’il y ait plus de clarté et de transparence au niveau des tarifs. A quoi correspond un forfait journalier ?

rafale
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Re: Maison de retraite

Messagepar rafale » 07 mai 2020, 15:31

J'abonde dans le sens de tous les commentaires ci-dessus, surtout ceux concernant ORPEA dont j'ai une image effroyable. La critique de jeminy sur l'avocate montpelliéraine rejoint aussi l'expérience que j'ai eue avec 3 avocates de ladite ville.

Ci-dessous une réflexion de Marie de Hennezel à laquelle j'adhère tout à fait puisque je ne peux actuellement plus m'approcher de mon époux en EHPAD !!!
--------------------------------
Fustigeant la « folie hygiéniste » qui, sous prétexte de protéger les plus âgés, leur impose des « conditions inhumaines », l’écrivaine et psychologue Marie de Hennezel estime que la crise sanitaire met à mal le respect des droits des personnes en fin de vie.
Temps de Lecture 4 min.

"Tribune. Si le déni de la mort est une des caractéristiques des sociétés occidentales, l’épidémie due au SARS-CoV-2 illustre son paroxysme. Depuis la seconde guerre mondiale, ce déni n’a fait que s’amplifier, avec le progrès technologique et scientifique, les valeurs jeunistes qui nous gouvernent, fondées sur l’illusion du progrès infini, la promotion de l’effectivité, de la rentabilité, du succès. Il se manifeste aujourd’hui par une mise sous silence de la mort, une façon de la cacher, de ne pas y penser, avec pour conséquence une immense angoisse collective face à notre condition d’être humain vulnérable et mortel.

Ce déni de la mort a eu trois conséquences. D’abord au niveau individuel, il n’aide pas à vivre. Il appauvrit nos vies. En faisant comme si la mort n’avait pas d’incidence sur notre manière de vivre, nous croyons vivre mieux, mais c’est l’inverse qui se produit. Nous restons souvent à la surface des choses, loin de l’essentiel.
Une illusion
Ensuite, ce déni entretient une illusion, celle de la toute-puissance scientifique et technologique, celle du progrès infini. Avec ce fantasme incroyable : imaginer qu’un jour on pourrait avoir raison de la mort. Enfin, le déni de la mort nous conduit à ignorer tout ce qui relève de la vulnérabilité. Il est responsable d’une perte d’humanité, d’une perte de la culture de l’accompagnement, avec les souffrances qui y sont associées.

Dès 1987, avec l’arrivée des soins palliatifs en France, a commencé un long combat pour sortir de ce déni. En 2005, lors de son audition au parlement, en vue de la loi relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi Leonetti), la sociologue Danièle Hervieu-Léger avait eu cette réflexion : « Le déni de la mort se venge en déniant la vie. La mort qui n’a pas sa juste place finit par envahir toute l’existence. Ainsi notre société est-elle devenue à la fois thanatophobe et mortifère. » Le déni a pourtant perduré.

L’épidémie actuelle l’illustre factuellement. La peur de la mort domine. Au lieu d’être considérée comme notre destin à tous, une réalité sur laquelle il faut méditer car elle est inéluctable, la mort devient l’ennemi à combattre. Faut-il pour autant ne pas se protéger ni protéger les autres, évidemment que non. Mais cette responsabilité doit être laissée à chacun et non édictée par un pouvoir médical devenu tout-puissant, qui poursuit aujourd’hui son fantasme d’éradiquer la mort, de préserver la vie à tout prix, au détriment de la liberté de la personne. Les acquis sur la dignité du mourir et le respect des droits des personnes en fin de vie sont brutalement mis à mal.
Le combat contre la mort est vain
Je ne remets aucunement en cause l’acharnement avec lequel médecins et soignants, au risque de leur propre vie, soignent des patients qui ont encore envie de vivre. Je remets en question la folie hygiéniste qui, sous prétexte de protéger des personnes âgées, arrivées dans la dernière trajectoire de leur vie, impose des situations proprement inhumaines. Cela a-t-il un sens de confiner une personne âgée, qui dans son for intérieur est relativement en paix avec l’idée de mourir, comme c’est le cas pour beaucoup ? De l’empêcher de vivre les dernières joies de sa vie, voir ses enfants, les embrasser, voir ses amis, continuer à échanger avec eux ? Leur demande-t-on leur avis, leur choix ? Demande-t-on aux proches ce qui est plus important pour eux : prendre le risque d’attraper le Covid-19 en prenant une dernière fois dans ses bras un parent aimé et lui dire au revoir ? Ou se protéger au risque d’une culpabilité qui les empoisonnera pour longtemps ?

Ce déni de la mort est dramatique et le combat contre la mort est vain. Nous ne mesurons pas les souffrances qui naîtront de l’érosion de l’humain quand la distanciation sociale sera devenue la norme, comme des inégalités que cette peur de la mort aura induites, les désespoirs, les dépressions, les violences, les envies de suicide. Nous réaliserons après le confinement le mal qui aura été fait en privilégiant la vie au détriment de la personne.
Les vraies questions sur le sens de l’existence
Car qu’est-ce qu’une personne ? Sinon un être humain qui, se sachant mortel, et méditant sur sa finitude, est renvoyé à l’essentiel, à ses priorités, à ses responsabilités familiales, aux vraies questions sur le sens de son existence.
Heureusement, quand notre société aura atteint le pic du déni de la mort, s’amorcera un déclin. Nombreux sont ceux qui, déjà dans le silence de leur confinement, méditent aujourd’hui sur le sens et la valeur de leur existence, sur le genre de vie qu’ils ont vraiment envie de mener. Une vie de retour aux choses simples, une vie où le contact avec ceux que l’on aime compte plus que tout, où la contemplation du beau et de la nature participe à la joie de vivre.

Une vie où l’on n’abandonne pas les plus vulnérables, où la solidarité humaine l’emporte. Une vie qui respecte les rites essentiels qui ponctuent l’existence et rassemble la communauté des vivants : la naissance, le mariage, la mort. Une vie où le devoir d’accompagnement de ceux qui vont mourir impose naturellement la présence, les mots d’adieu, bref d’entrer dans ce que le psychanalyste Michel de M’Uzan (1921-2018) appelait « l’orbite funèbre du mourant »."

xylo
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Re: Maison de retraite

Messagepar xylo » 26 juin 2020, 18:19

Comment se passe une journée en maison de retraite ? Les seniors y sont-ils heureux, choyés, respectés comme ils le méritent ?
Peut-on répondre à cette question à cette période de Juin 2020?
Je n'écris même pas 'période d'épidémie' parce qu'il me semble quand on suit le nombre de nouveaux cas depuis quelques semaines dans chaque département en France, cela devient insignifiant.
Les personnes âgées qui sont dans des résidences pour personnes âgées ont subi le confinement comme nous sauf qu'elles ne pouvaient pas sortir de leur chambre, ni recevoir de visites comme tout le monde le sait pendant toute la durée de confinement.
Je fais part ici de ce que j'ai perçu de l'hébergement d'une personne très âgée de ma famille dans une résidence d'une chaine privée dont je ne donnerai pas le nom et qui n'est pas Korian, dont on a entendu parler plusieurs fois à cause de décès liés au virus, pour un coût mensuel très élevé et qui lui donnait toute satisfaction jusqu'à cette période d’enfermement d’un niveau de sévérité bien supérieur à ce que nous nous avons subi. Pas de sortie des chambres, pas de visites, repas apportés sur un plateau.
Je pense que pour les personnes décédées dans ces conditions ce fut bien plus cruel, puisqu’elles ont été privées de la possibilité des dernières paroles de et à leur famille, des derniers sacrements délivrés par un prêtre, la communion, l’extrême onction, pour les chrétiens qui le souhaitent, et que seuls les membres du personnel soignant ont pu savoir ce qu’il en a été de leur fin de vie. Je passe sur les obsèques quasiment interdites …
On a supposé bien sûr, pour toute cette période, qu’une personne âgée peut se passer de tout ce dont nous nous pouvons avoir besoin au jour le jour, comme d’un tube de dentifrice et d’une brosse à dents neuve, des journaux, livres, des timbres etc. Je ne sais pas comment ont pu faire ceux qui n’avaient pas la chance qu’une personne extérieure puisse apporter le nécessaire en le déposant sur le pas de la porte. Comme on a supposé également qu’une personne âgée est à la disposition du médecin qui entre sans prévenir dans la chambre pour faire le test PCR puis ne communique aucun résultat ensuite.
A partir du11 Mai, date du déconfinement, les visites sur rendez-vous d’une durée limitée à 30 minutes en présence d’une infirmière avec maintien de la distance par l’interposition d’une table sont devenues possibles, comme les sorties dans le jardin de la résidence, puis progressivement, les repas au restaurant mais peut-être pas pour tous les résidents, je ne sais pas quels ont été les critères pour autoriser ou non ces avantages.
Mais depuis le 2 Juin, des restrictions continuent de s’appliquer, j’ignore si chaque résidence définit des règles comme bon lui semble ou si c’est une autre autorité comme l’ARS (Autorité Régionale de Santé) qui les impose, les visites ne sont pas redevenues possibles dans les chambres et le reconfinement des résidents peut à nouveau être imposé sans qu’il leur en soit donné la raison ni la durée. Pendant qu’hors de ces résidences, la vie peut reprendre son cours presque normal, la peur persistante d’une deuxième vague semble pouvoir justifier de poursuivre les restrictions imposées aux personnes âgées. La peur des procès et de la réputation aussi.
Ils ont pourtant des masques à leur disposition, du gel hydroalcoolique, peuvent respecter les distances, mais finalement malgré la possibilité de respecter les "mesures barrière" dont on se demande l'utilité, et si l’on évoque aussi un éventuel retour du virus à l’automne ou un hiver, pour les personnes âgées, je ne perçois pas du tout le temps de la fin de ces conditions de vie éprouvantes pour des personnes âgées et pour leur entourage.
Le tarif lui, pour ces conditions d'hébergement, est par contre inchangé.

Eric123
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Re: Maison de retraite

Messagepar Eric123 » 26 juin 2020, 21:58

[(...)
Je n'écris même pas 'période d'épidémie' parce qu'il me semble quand on suit le nombre de nouveaux cas depuis quelques semaines dans chaque département en France, cela devient insignifiant.
(...)
Bonjour,

Ah bon, au 25/06/2020, 27 nouveaux patients hospitalisés, 7 nouveaux patients en réanimation, 21 morts en 24 heures à l’hôpital, pour vous, c'est insignifiant !

10 488 morts cumulés en EHPAD et CMS depuis le début de la pandémie.

La vie ne vaut pas grand chose pour vous. Mettez un masque et respectez les distances entre personnes.

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