Messagepar Crouzet » 13 mars 2023, 14:53
Bonjour,
Vous me dîtes que l'ouverture de chantier aurait du avoir lieur au pire au terme des conditions suspensives: pour mes enfants il s'agit de la date de l'achat du terrain.
Or, même depuis cette date, le constructeur ne leur a toujours pas fourni:
- l'adresse de l'assurance Dommage-ouvrages auprès de laquelle ils devaient s'assurer,
- la garantie de livraison et délais convenus pour que mes enfants puissent l'envoyer à leur organisme préteur,
- la garantie Responsabilité Civile et Décennale du constructeur,
- l'assurance de parfait achèvement,
- l'assurance biennale,
- la garantie de paiement des sous-traitants,
- à la suite de la MAP(Mise Au Point technique) du16 novembre 2022, il n'a pas été déposé en mairie, de la part du constructeur, comme il s'y était engagé, de déclaration d'ouverture de chantier.
Il est écrit dans le CCMI, que à la réalisation des clauses suspensives, le constructeur débutera les travaux dans un délais de 10 semaines: 16 novembre 2022 + 10 semaines = 25 décembre (!!). Nous sommes le 13 mars, soit 11 semaines après le délai...
L'eau est sur le chantier tout comme l'électricité: compteurs ouverts par mes enfants.
Cela fait trop de manquements pour un non début de chantier. On n'ose imaginer la suite.
Que pouvez-vous conseiller à mes enfants?
Avant d'adhérer à l'UFC Que Choisir, il leur faut faire, me semble t-il, une démarche par LRAR sur laquelle l'association pourra s'appuyer
Que sont-ils en droit de demander au constructeur par LRAR?
C'est leur projet de vie pour lesquels ils se sont endettés pour 25 ans. Ce n'est pas un bon début.
Nous attendons donc votre réponse pour faire au mieux dans nos possibilités.
Bien cordialement.
Christian Crouzet