Banque Postale et prêt immobilier : les pièges

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2ème partie :

voici mon témoignage qui résume les difficultés à obtenir un prêt immobilier à la Banque Postale, si vous êtes pensionné (pension d''invalidité), du manque d''information de la part de Banque Postale, et de ses méthodes habiles pour ne pas accorder de prêt immobilier à une personne qui a épargné pendant plus de 10 ans à la Banque Postale, et qui ne peut même pas espérer pouvoir bénéficer (même pas d''un prêt consommation) de la part de la Banque Postale.

"Le lendemeain matin, je reçois un coup de fil d''une personne qui ne se présente même pas, je lui demande qui il est, il ne répond pas, il finit quand même par me confirmer qu''il travaille pour la poste.

Il fait mine de ne pas me connaitre, de ne rien connaitre de mon dossier, et de ne pas avoir accès à mon compte.

Il me repose un tas de questions détaillées pour le prêt consommation, jusqu''à me demander mon numéro de compte, mes impots, mes revenus, un long questionnaire, et me demande quelle est la durée du prêt immobilier prévu par la conseillère financière : donc je lui répond qu''il s''agit d''un devis pour l''achat d''une voiture, comme me l''a indiqué la conseillère en immobilier (pour avoir droit au crédit consommtion), alors qu''il s''agit d''un projet immobilier.


La conseillère financière m''avait également précisé qu''il s''agissait d''un crédit sur 144 mois d''une montant autour de 32000 euros qui pouvait m''être accordé, en fonction du montant de ma pension.


Je vous précise également que la personne que j''ai eu au téléphone, pour le crédit de consommation, s''est bien entendu empressé de me dire qu''il donnait un avis défavorable à ma demande de crédit de consommation et surtout qu''en aucun cas le crédit ne pouvait s''étaler sur 144 mois, donc j''estime que la conseillère financière m''a induit en erreur, pour ne pas dire pire (piège) délibéré ou orchestré par ses supérieurs hierarchiques ? puisqu''elle m''a donné des éléments qui de toutes façon ne pourraient entrainer qu''un avis défavorable, puisque le crédit consommation ne pouvait pas dépasser un étalement de 72 mensualités.



D''autre part je pense avoir également compris que cette personne que j''ai eu au téléphone a fait mine de ne pas me connaitre, mais qu''il est en réalité parfaitement au courant de ma situation et que l''avis défavorable était prévu à l''avance, et qu''il m''a demandé tous les renseignements de façon délibérée en sachant que le prêt de me serait pas accordé.